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Rock Made In Breizh

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2 février 2014

Children in Paradise (2007)

children-in-paradise

Créé en 2007 par la chanteuse Kathy Millotaka Dam KatChildren in Paradise a construit son projet musical avec les arrivées des autres musiciens. Résultat, un rock progressif celtique (Uillean pipes et Low whistle obligent) qui surprend par sa maturité, sa mélancolie et ses envolées de guitares. Entre MarillionPorcupine Tree et Dan ar Bras. En 2011, l’album “Esyllt” témoigne de cette féconde originalité. Et c’est de l’étranger que les premiers retours positifs arrivent : l’opus est élu meilleur disque de l’année 2012 en Irlande, album du mois de juin 2012 au Brésil, multidiffusion sur les radios québécoises, etc. Étonnant, mérité et terriblement vexant pour la France et son silence. Il faut attendre 2013 pour que les médias français s’intéressent à « Esyllt » et en profite pour noter la présence du guitariste Pat O’May et de la harpiste Clotilde Trouillaud sur plusieurs titres. De quoi donner de belles couleurs aux paroles anglaises emplies de mythes et de légendes. Children in Paradise n’est pas un groupe breton pour rien !

A ranger entre The Last Embrace et Dan ar Bras
A suivre sur Facebook

Fiche technique de Children in Paradise
Ou : Bretagne
Quand : depuis 2007
Site internet
Genre : Progressif
Line up
Kathy Millot aka Dam Kat (Chant) – Gwalc’hmei (Guit) – Loïc Blejean (Uillean pipes, Low whistle) – Hilaire Rama (Basse) – Patrick Boileau (Batterie, Arrangement) – Philippe Turbin (Claviers)
Album
2011 : “Esullt” (Keltia)

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13 janvier 2014

Phonoclub (2009) de Rennes

phonoclub

Phonoclub a mis 3 ans à digérer ses influences 80’s et 90’s (de Neil Young aux irlandais de U2 période « Achtung baby »  en passant par les Editors et Radiohead) avant de sortir fin 2012 son premier EP enregistré au Studio Neverminds Records près de Rennes. Le résultat marie bien toutes ces sources d’inspiration avec un post rock efficace respectant les codes du genre : bons riffs de guitares, montées progressive des morceaux et rythmique en béton. Le tout pour des ambiances sombres et énergiques. Avec Phonoclub, Rennes trouve une nouvelle formation capable de défendre le statut rock de la capitale bretonne et tenir le rang face à Londres et Berlin. Le triangle magique pour tous pèlerins européens qui se respectent. .

A ranger entre Tazieff et Craftmen Club
A écouter sur Myspace et sur Bandcamp
A suivre sur Facebook

Fiche technique de Phonoclub
Ou : Rennes
Quand : depuis 2009
Site internet
Genre : Rock
Line up
2009
 : Yan (Chant, Guit) – Sylvain Girola (Guit) – Franck Breal aka Kropotkine (Basse) – Edouard Pournin (Batterie)
2013 : Yan (Chant, Guit) – Sylvain Girola (Guit, Clavier) – Kropotkine (Basse) – Edouard Pournin (Batterie)
Album
2012 : EP « Dance in the clouds » (Auto production)

4 octobre 2013

Slim Wild Boar and his Forsaken Shadow (2008) de Rennes

Slim Wild Boar and his Forsaken Shadow

C’est comme simple one man band que Slim Wild Boar débute son aventure éponyme en 2008. Et de belle façon en signant son premier album sur le label américain Devil’s Ruin Records. Il faut dire que sa musique s’y prête, s’inspirant directement des pionniers de la country folk US, Johnny Cash et Hank Williams en tête. En revanche c’est accompagné de Forsaken Shadow à la guitare et de Skinny Kid à la batterie que le breton sort ses albums suivants sur le label rennais Beast Records. Depuis le trio écume les scènes underground de Brest à l’Oural.

A ranger entre Johnny Cash et 16 Horsepower
A suivre sur Facebook 
A écouter sur Bandcamp 
A voir sur Youtube 

Fiche technique de Slim Wild Boar and his Forsaken Shadow
Ou : Rennes
Quand : depuis 2008
Site internet 
Genre : Country
Line up
Slim Wild Boar (Guit, Chant) – Forsaken Shadow (Guit) – Skinny Kid (Batterie
Album
2009 : « The lovesick, the guilty & the drunk » (Devil’s Ruin Records)
2009 : SP “My bottle” (Devil’s Ruin Records
2010 : “Water on a dirty ground” (Beast Records)
2013 : “Tales from the wrong side of town” (Beast Records / Kizmiaz Records)

9 septembre 2013

Deep Inside (1991-1994) de Brest

Deep Inside Le Telegramme

Dans un style très proche de Lou Reed et Tom Petty (la voix grave de Dominique Le Boulanger ?), Deep Inside a marqué la scène brestoise du début des années 90. Né de la rencontre en septembre 1991 de Dominique Le Boulanger et Laurent Guiziou avec le « parisien » Patrick Le Bris, Deep Inside enchaîne rapidement les concerts et quelques belles premières parties (Dr Feelgood notamment). Pour permettre à Dominique Le Boulanger de se concentrer sur sa voix, le frère de Patrick Le Bris est invité à prendre la basse. Et ça fonctionne. C’est donc à quatre qu’ils enregistrent un titre pour une compilation Ferarock. En revanche, c’est à cinq avec Eric Stéphan à la guitare que le groupe entre en studio pour enregistrer son premier et unique album. En revanche, s’ils terminent à l’album à cinq, c’est avec Yann Kermarec à la seconde guitare en lieu et place d’Eric Stéphan. Il faut dire que l’enregistrement prend plus d’un an ! Distribué uniquement dans l’Ouest de la France, l’album déçoit, le groupe s’épuise et Patrick Le Bris tire sa révérence avant que le reste de la formation n’en face autant.


Avant Deep Inside

Dominique Le Boulanger et Laurent Guiziou jouaient dans les Vipers.
Eric Stéphan est un ancien Hot Bugs.

Que sont-ils devenus ?
En 1995, Christophe Le Bris rejoint Christophe Miossec.

Fiche technique de Deep Inside
Ou : Brest
Quand : entre 1991 et 1994
Genre : Rock
Line up 
1991 : Patrick Le Bris (Guit) - Dominique Le Boulanger (Chant, Basse) - Laurent Guiziou (Batterie)
1992 : Patrick Le Bris (Guit) - Dominique Le Boulanger (Chant) - Laurent Guiziou (Batterie) – Christophe Le Bris (Basse)
1993 : Patrick Le Bris (Guit) - Dominique Le Boulanger (Chant) - Laurent Guiziou (Batterie) – Christophe Le Bris (Basse) – Eric Stéphan (Guit)
1994 : Patrick Le Bris (Guit) - Dominique Le Boulanger (Chant) - Laurent Guiziou (Batterie) – Christophe Le Bris (Basse) – Yann Kermarec (Guit)
Albums 
1994 : « Deep Inside » (Auto production)

2 août 2013

Les Locataires (1989 - 1994) de Brest

les locataires cover

La Bretagne en général et Brest en particulier dispose du net avantage de posséder beaucoup de pub et de festivals et de n’être jamais très loin de l’Angleterre. C’est pourquoi un groupe comme Les Locataires ne perd pas de temps pour présenter sa dizaine de composition dans les bars et salles de concert de la région. Leurs excellentes prestations scéniques les poussent à enregistrer une K7 six titres au Studio Bleu à Guiclan édité sur Mutine Ricordz, le nouveau label de Fréquence Mutine créé pour l’occasion. Et de tremplins en festival, après un titre (« Taxi de nuit ») sur la compilation du CCM et désormais épaulé par une section cuivre, le groupe des frères Leroux part au Bus Stop Studio de Leigh près de Liverpool enregistrer quatre titres. Hermann St John, la patron du studio est convaincu et décide de produire les titres suivant en vu du premier album qui sort en 1992, distribué par New Rose. Une tournée d’une quinzaine de dates en France suit qui ne permettent pas de faire décoller les ventes : 7000 exemplaires trouvent preneur. En 1993, le groupe retourne à Leigh pour enregistrer le second album. Tout se passe mal et Les Locataires finissent le disque à Brest. Une nouvelle tournée d’une soixantaine de dates ne lance pas la nouvelle dynamique espérée et finit même par épuiser le groupe qui se sépare en 1994. Du Glam au Rythm’n’Blues, leur soul urbaine n’aura finalement pas séduit au-delà des frontières bretonnes.

A ranger entre Les Rois Fainéants et Wild Child 

Avant Les Locataires

Bruno Leroux fait parti des Géraldine’s Lovers et des Vieux se fâchent
Eric Miallon est un ancien Coyotte Pass et Edith 33.
Eric Morizur tient la guitare du groupe rockabilly Scopitones.
Erwan Le Bousse jouait au sein des Haddock Gibbons.

Que sont-ils devenus ?
Guillaume Jouan et Bruno Leroux rejoignent Christophe Miossec pour enregistrer son premier album « Boire ». Bruno Leroux créé Siam en 2008.

Fiche technique des Locataires
Ou : Brest
Quand : entre 1989 et 1994
Genre : Rock
Line up
1989 : Bruno Leroux (Guit) – Serge Leroux (Sax) – Karine Tiffany (Basse) – Bruno Falc’hun (Batterie)
Novembre 1989 : Bruno Leroux (Guit) – Serge Leroux – Karine Tiffany (Basse) – Eric Miallon (Batterie)
1990 : Bruno Leroux (Guit) – Serge Leroux (Sax) – Karine Tiffany (Basse) – Eric Miallon (Batterie) – Eric Morizur (Guit)
Juillet 1990 : Bruno Leroux (Guit) – Serge Leroux (Sax) – Karine Tiffany (Basse) – Erwan Le Bousse (Batterie) – Eric Morizur (Guit) – Phil Guennou (Sax) – Guillaume Jouan (Trompette)
Albums
1990 : K7 « Les Locataires » (Mutine Ricordz)
1992 : « Les Locataires » (Mutine Ricordz / New Rose)
1993 : « Geraldine’s Lovers » (Auto production)

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21 juillet 2013

Stoned Popes (2009-2012) de Naoned

Stoned-Popes

La publicité est souvent mensongère. Alors, quand le slogan du groupe annonce sur la pochette de leur premier EP : « Stoned Popes, the sound of happiness », on se méfie. On a tort. La musique de Stoned Popes met réellement de bonne humeur. A grand renfort de Yukulélé, de percussions et autres trompettes, leur pop agit sur le cerveau comme un détonateur à bonheur. On ne peut s’empêcher de siffloter, de battre du pied, de claquer des doigts…  D’être bien quoi. De là à en déduire que « Stoned » à un sens caché… Pour les influences (puisqu’on serait bien incapable des les classer) on ira voir du côté de la musique caribéenne, de la pop californienne à grand renfort de rock, de folk et de reggae. Pour les influences que les 6 parisiens reconnaissent, ajoutons CakeCalexico et Beck. Beau panel. Mais la rumeur gronde que le groupe a changé de nom après avoir signé chez Atmosphérique. Il faut maintenant parler de Yalta Club ! Sous sa forme Stoned Popes, l'aventure s'arrête donc en 2012

A ranger entre Concrete Knives et les californiens Fool's Gold
A écouter sur Myspace
A voir sur 
Youtube

Après Stones Popes
Une bonne partie d'entres eux (tout le monde sauf Charly) devient Yalta Club.

Fiche technique de Stoned Popes
Ou : Naoned
Quand : entre 2009 et 2012
Genre: Pop
Line up
Charly (Pecussions, Harmonica) – Julien Geffriaud  (Chant, Guit, Ukulélé) – Erwan Cornen (Guit) – Thomas Emeriau (Trompette, Guit, Claviers) – Nicolas Dhers (Basse) – Sebastien Daviet (Batterie)
Album
2010 : EP "Stereo on" 

25 mai 2013

Dysilencia (2004) de Brest

dysilencia

Dysilencia est né en 2004. A moins que ce ne soit en 2010 avec l’arrivée du second chanteur, julien, qui donne aux brestois une nouvelle palette à leur Metal « festif » (en opposition au Metal lourd et sombre des caciques du genre) en alternant et mixant passages hurlés, rappés et chantés en français - pour donner du sens au sens - à une ou deux voix. Avec un seul EP auto produit à leur actif (distribué par le label Finistérian Dead End), Dysilencia créé déjà la différence en confiant la production de leur 4 titres au spécialiste du genre en Bretagne, le lorientais Gwen Kerjan. Le résultat est à la hauteur de leurs prestations scéniques : puissant, énergique et sacrément bien produit ! Un travaille qui met en avant tout le côté électro du groupe avec nombre de synthés additionnels qui loin d’étouffer les compos les emportent sur les rives de la fusion. Bon, ce n’est pas Shaka Ponk quand même !

A ranger entre Mass Hysteria et Sidlarsen
A écouter sur Myspace et Bandcamp 
A voir sur Youtube  

Fiche technique de Dysilencia
Ou : Brest
Quand : depuis 2004
Genre : Metal
Line up
2010 : Max (Chant) – Julien (Chant) – Denis (Guit) – Julien (Guit) – Sylvain (Basse) – Olivier Batterie)
Album
2012 : EP « Boule à facettes » (Auto production)

2 mai 2013

Zoopsie (1983-1988) de Naoned

Zoopsie nantes

Zoopsie s’est donné les moyens de réussir. Après une première mouture qui donne naissance à un 45t, le groupe d’Yves Marie Airiau remanié avec deux pointures nantaises part à Londres enregistrer son super 45t 4 titres. Résultat : un rock chanté en français, très marqué par ces années qui avaient le don de nettoyer tout ce qu’elles survolaient en propulsant la batterie sur le devant du mixage. A tel point que le rock de Zoopsie devient presque New Wave quand la ligne de basse assène ses coups de boutoir métalliques, à l’image du titre « Radio ».
Né en 1983, Zoopsie comprend Yves-Marie Airiau (Chant, Guit), Kim Huynh (Guit), Loïc Kerdraon (Basse) et Thierry Lacroix (Batterie). Cette formation laisse une première trace avec « Quai des ombres » sur la compilation des vainqueurs du festival Plein Watt. En revanche, Kim Huynh n’est déjà plus là lorsqu’ils gagnent à nouveau en 1984. Et le groupe n’existe plus lorsque le titre « La ville sans secret » est édité en 1985. Fin de l’histoire ? Non. Après quelques mois, Yves-Marie Airiau relance la machine avec deux ex Tétryl, Dominique Rousseau à la batterie et Pascal Ambroset aka Kalou à la basse. C’est ce line up qui part à Londres enregistrer dans le quartier de Brixton avec l’aide bassiste de Kajagogoo. En résulte le 4 titres « Avant l’aube » dont le titre « Délivrez-nous » passe même à la BBC 1 dans l’émission de John Peel. En France, les faits de gloire sont inexistants. Est-ce pour ça que le poste de guitariste reste un siège éjectable ? Kalou est remplacé par Serge Billier en 1987, lui-même sorti du groupe par l’angevin Alain Boochon. Rien n’y fait et Zoopsie annonce sa séparation en 1988 devant un parterre de 300 fans abasourdis. En 2001, le groupe se reforme le temps d’une soirée pour fêter les 20 ans d’EV à l’Olympic.

A ranger entre Ligne d’Hiver et Astings
A voir sur Youtube 

Avant Zoopsie
Dominique Rousseau et Pascal Ambroset ont joué dans le groupe de Hard nantais Tetryl

Que sont-ils devenus ?
Yves-Marie Airiau devient Lou puis Lou Jimm. 
P
ascal Ambroset rejoint Elmer Food Beat. On le retrouve ensuite dans Ternil et Hell’s Crack.
Thierry Lacroix joue avec Oui Oui, Champion, Saint Simon… puis Dolly.
Loïc Kerdreon est devenu ingénieur du son.
Alain Boochon rejoint les Dirty Hands avant de sortir deux albums solo en 1986 et 2000.   

Fiche technique de Zoopsie
Ou : Naoned
Quand : entre 1983 et 1988
Genre : Rock
Line up
1983 : Yves-Marie Airiau aka Lou (Chant, Guit) - Kim Huynh (Guit) – Loïc Kerdraon (Basse) - Thierry Lacroix (Batterie)
1984 : Yves-Marie Airiau aka Lou (Chant, Guit) – Laurent Kerdroi (Basse) – Thierry Lacroix (Batterie)
1985 : Pascal Ambroset aka Kalou (Basse) – Yves-Marie Airiau aka Lou (Chant, Guit) – Dominique Rousseau (Batterie)
1987 : Yves-Marie Airiau aka Lou (Chant, Guit) – Serge Billier(Basse) – Dominique Rousseau (Batterie)
1987 : Yves-Marie Airiau aka Lou (Chant, Guit) – Alain Boochon(Basse) – Dominique Rousseau (Batterie)
Album
1984 : SP « La ville sans secret »
1986 : EP “Avant l’aube” (Auto production)

4 avril 2013

Mnemotechnic (2009) de Brest

Mnemotechnic

C’est bien de Brest que Mnemotechnic est allé signer chez les anglais de Smalltown America. Pas de doute, les ports bretons (même militaire…) commercent encore naturellement avec la « perfide » Albion !
Né en 2009, le quatuor se rode sur les routes bretonnes, françaises et belges avant de franchir le pas et d’enregistrer un premier album avec quelques spécialiste de la noise lyonnaise : Miguel Constantino aux manettes (Marvin, Papier Tigre, Clara Clara, The Patriotic Sunday…), Stéphane Laporte au mix et Ivan Chiossone au mastering (Zëro). De cette exigence de maîtriser le bruit des guitares, les bretons y ajoutent cette volonté de survolter les compositions en y insufflant une fraîcheur dansante. En la matière, les maîtres de Mnemotechnic seraient à chercher du côté de Sonic Youth et de At the Drive In. Et c’est un label anglais qui a compris cette exigence américaine. Normal quand on s’appelle Smalltown America ! Le résultat serait une voix à la David Byrne des Talking Heads sur des rythmes compulsifs à la frontière de l’urgence. La noise sautille enfin !  

A ranger entre Bästard et UV Jet
A écouter sur Sound Cloud et Band Camp
A voir sur Youtube
A suiver sur Facebook et Twitter

Fiche technique de Mnemotechnic
Ou : Brest
Quand : depuis 2009
Site internet 
Genre : Rock
Line up
Arnaud Kermarrec-Tortorici (Chant, Guit) – Anthony Marzin (Guit) – Xavier Guillaumin (Basse) – Anthony-Mehdi Affari (Batterie)
Album
2013 : "Awards" (Smalltown America)

26 janvier 2013

Caliorne (2005)

caliorne

Depuis 2005, Caliorne défend les couleurs du rock celtique en région parisienne. Dans un registre électrique, instrumental (à de rares exceptions) et original (le sextet interprète ses propres compositions), le groupe s’inspire des répertoires bretons, irlandais et écossais. Le résultat est conforme aux caciques du genre : riffs et solo de guitares qu’une cornemuse et des claviers viennent titiller soutenus par le couple basse – batterie. Si Caliorne ne réinvente pas le fil à couper le beurre salé (mais en a-t-on besoin ?), la formation assure. Il faut dire que les musiciens ont tous vogué dans différentes formations locales pop, rock, hardcore… Avant de se retrouver à défendre la terre d’Armorique et sa musique.

A ranger entre Breizh Mind et Daonet  
A suivre sur Facebook  
A voir sur Youtube 

Fiche technique de Caliorne
Ou
 : Ile-de-France
Quand : depuis 2005
Site internet 
Genre : Rock celtique
Line up
Kevin Bijaoui (Guit) - Hugues Maljeau (Guit, Chant) – Olivier Bintein (Claviers) – Patrick Jamin - Daniel Bignon (Batterie) – François Marchal (Cornemuse)
Albums
2005 : "Déboussolés" (Auto production)
2010 : EP "La démo" (Auto production)
2012 : "Rock noz band" (Auto production)

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